carnets tapuscrits d’une année musicale – 2004 –
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28/12/04
Au revoir
And
see you there
(fin des carnets tapuscrits d’une année musicale).
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26/12/04
– PONEY CLUB / Look afternoon
Temps de neige, l’heure est à la fouille des archives sous eux épaisseurs de laine.
1/ Un haïku
Queud
Jj'ai gardé la doudoune
Ma gougoune
2/ Un type chouette
3/ Une bonne blague
4/ Un truc pour les psychopathes du disque.
5/ Enfin ! Le club des chats en vidéo et MP3
6/ Enfin (aussi) : un mec qui à la classe (au studio Mensch)
7/ Le performer de l’année (via Manu)
8/ La voix du 9 de la loose 04
22/12/04
– Bilan sommaire
TOP
TWENTY UP 04
« The
dew line » de Gate
Ricardo au Syndicat
Lost in Translation
Richard Brautigan
Partir du Nouveau Casino
Imaginer des histoires avec Tinoe
Califone
« Your golden ass »
Le vœu secret du Cygne
Disco-Babel
Marcoeur
A Certain Ratio
Julien Carreyn au parc
Zahia et Nikolas
Seule à Sète, sur le vélo
Annefrançoise et Annemarie
Gougoune à Boubou
La Carte du Tendre
Old
Time Relijun live
La nuit Tigersushi
Les haïkus
TOP
TEN DOWN 04
Lizzy Mercier-Descloux
La ligne 9
L’anniversaire manqué
Le mois de juin
Seule à Bordeaux
La Route du Rock
Edith à la Villette
La noise eskimo
Jean-Paul Dubois
Le sommeil.
Demain, c’est vacances. Yeah !
08/12/04
– Courrier des lecteurs
En
réponse aux vagues de mails récentes :
1/ Je
ne dirai à personne si j’ai rencontré Harmony Korine en vrai ou pas.
2/ La
quatrième pochette, la grise, avec la cabane, est celle de « The Dew
Line » de Gate paru sur Table of the Elements en 1994.
Je
l’écoutais à sa sortie et je me le prenais déjà dans la tronche. Je l’ai
réécouté tout l’hiver dernier. J’ai cherché, et pourtant : je n’ai pas
trouvé plus brûlant à mes oreilles depuis (bien qu’Etant
Donné et Alan Vega me procurent également un frisson bien particulier).
Ecouter : Standing in Fields / Prophet
3/
Non, je n’ai de travail pour personne à Boulogne (déjà que je me demande
parfois comment j’arrive à garder le mien…)
Sur
ce, deux copines :
L’amitié,
c’est cool.
(snapshot per Jacky, sur canapé de Klara)
01/12/04 – The age of self
/ ROBERT WYATT
Aujourd’hui, Julien Carreyn m’a appelé au travail cinq petites minutes. Il écoutait la compilation que je lui avais faite de Virna Lindt, la plus mésestimée des chanteuses à frange nordiques. Il était content, ça lui faisait un moment frais dans sa journée. Il me l’a dit : il signe des deux mains et plus encore son adhésion au fan-club très confidentiel de la dame (actuellement seulement constitué de Luc Lemaire, Jac Debout et moi-même). Du coup, il m’a aussi fait écouter un petit peu Robert Wyatt depuis les enceintes de son ordi avant que je parte en réunion. « C’est Old Rottenhat, c’est mon album préféré – Oui, moi c’est pareil – Oh là là t’entend comment il commence ce morceau ? – Ah oui, c’est mon préféré, avec les claviers Thalassa – C’est énorme, c’est énorme ! – Oh là là. » J’avais un sourire con comme c’est pas permis.
Dans
le métro, dans mes mains toutes froides, un souhait qui prend toute la place.
Dans
le métro, j’ai une envie terrible de courir jusque chez moi me faire le plus
grand plaisir qui soit, mieux encore qu’une clope, une tartine de beurre, une
douche bouillante ou un message qui fait plaisir. « Je vais rentrer chez
moi et je vais écouter Old Rottenhat de Robert Wyatt – Exelmans, La Muette,
Iena – et je vais rentrer chez moi et je vais écouter Old Rottenhat de Robert
Wyatt – Grands Boulevards, Bonne Nouvelle, Strasbourg St-Denis – et je vais
encore plus encore me sentir chez moi. »
La
playlist éternelle (4/5) :
Greetings to :
Philippe Robert & Jac Debout
Sans
oublier « La Perversita » d’Hector Zazou (5/5)
Blog
de playlists par Scrima.